Aujourd’hui nous allons vous présenter 6 raisons pour lesquelles nous n’acceptons plus certains projets. Très souvent, tous les clients ou tous les projets ne sont pas bons à prendre. C’est une chose que nous avons apprise tout au long de notre parcours, à travers la collaboration avec de nombreux clients. Nous vous dirons pourquoi nous l’affirmons dans la suite de cet article. Voici donc 6 raisons pour lesquelles il est préférable de ne pas accepter un projet.
1. Eviter des projets en marque blanche
C’est un type de projet dans lequel le fournisseur n’est pas en relation directe avec le client. Il y a donc un intermédiaire entre le client final et le fournisseur de service. Le client a donc vendu le projet à son contact mais ce n’est pas ce dernier qui l’exécute.
Nous avons travaillé sur ces types de projets en début de carrière étant donné que nous n’avions pas encore de relation client, cumulé au fait que nous avions un peu peur des ventes. Ainsi, nous avons voulu passer par des partenaires pour obtenir quelques contrats.
Nous ne pouvons pas dire de manière absolue que nous ne prenons jamais ce type de projet, mais nous n’en prenons quasiment plus ou très peu. Il est généralement très difficile pour que les conditions soient réunies pour une entente entre le client, l’intermédiaire et le fournisseur de service, à cause de plusieurs raisons :
- L’intermédiaire qui vous délègue le projet n’a souvent aucune compréhension à ce propos (Techniquement, il n’a quasiment aucune compréhension de ce qu’il vend. Un peu comme si je m’amusais à vendre des voitures Ferrari alors que je ne connais aucune information sur le produit.) Tout ceci pouvant engendrer une multitude de stress et de frustration
- La marge bénéficiaire est très réduite : Ceci est assez clair d’autant plus que, plus le nombre d’intervenants dans le projet augmente, plus le nombre de prestations à payer augmente aussi. Cela est évident étant donné que l’intermédiaire à son niveau entend gagner également. De plus, les imprévus surviennent presque toujours. Dans ce type de projet, à moins que le client final ne débourse assez d’argent pour payer suffisamment les différents intervenants, la marge bénéficiaire peut être très réduite.
2. Eviter de prendre des projets venant des compagnies plus grosses que vous
Nous avons plusieurs raisons qui nous poussent à ne pas prendre des projets venant de ce type d’entreprise. Ainsi, nous voulons être sûrs d’avoir la capacité de les servir. Pour cela, il n’est pas convenable d’accepter des projets dont vous n’aurez pas la compétence ou la technologie pour les réaliser.
De plus, traiter avec les grosses compagnies, c’est entrer dans une relation déséquilibrée. Le client pourra vous demander par exemple d’aller lui apporter la lune alors que vous ne savez pas comment décoller du sol. Par conséquent, par peur de le perdre, vous pouvez être entraîné dans un domaine dont vous ne maîtrisez rien.
En essayant de faire quelque chose qui n’entre pas dans votre domaine de compétence, vous allez certainement livrer un travail de mauvaise qualité. Tout ceci pouvant engendrer de grosses frustrations, raison pour laquelle nous recommandons de prendre des clients de votre niveau ou encore ceux ayant un niveau pas trop supérieur au vôtre (ainsi, vous apprendrez un peu plus en collaborant avec eux). Quant à nous, c’est comme cela que nous travaillons de nos jours.
3. Eviter de prendre le projet d’une entreprise qui se place sur un rapport de force plutôt que sur un rapport de collaboration
Nous avons rencontré ce type de cas, cela dépend du chef ou du CEO. Lorsqu’il s’agit de quelqu’un utilisant un rapport de collaboration (Ex : que puis-je faire pour aider cette compagnie afin de recevoir en retour son assistance ?), nous pouvons tout donner pour satisfaire ce modèle de compagnie, à la limite de devenir son esclave.
Cependant, lorsque nous avons affaire à un client ou une entreprise qui est plutôt dans un rapport de force (c’est moi qui paye, c’est moi le boss, etc.) ou qui cherche à s’accaparer de toutes nos ressources, nous commençons à prendre nos distances. Dans ce cas, nous pouvons finir le projet en cours, mais nous ne serons pas prêts à en prendre d’autres dans les mêmes conditions.
Ainsi, après plusieurs cas de figure, nous avons conclu qu’un rapport de collaboration est préférable à un rapport de force.
4. Si le client décide de ne pas respecter votre processus
Plus nous gagnons en expérience, plus nous avons la facilité de percevoir ce genre de cas et travaillons à nous adapter. Toutefois, certains clients trouveront des objections à la presque à totalité de votre stratégie de travail (Non, je ne veux pas payer en 4 tranches mais plutôt en 6, Non, je ne préfère pas collaborer avec votre chargé de projet mais plutôt avec vous, Non je préfère vous appeler tous les jours même si le processus prévoit plutôt un appel par semaine, etc.).
Tout ceci rend les choses très compliquées et crée un gros désordre, étant donné que vous ne pouvez pas entrer dans un restaurant, ouvrir le frigo vous-même et demander que l’on vous laisse préparer votre plat à votre manière. Mais vous passez votre commande et vous laissez que l’on vous serve selon les règles de la maison étant donné que si tout le monde se comportait de la sorte, on assisterait à une anarchie totale.
Les processus sont donc faits pour être respectés et maintenir l’ordre. Quand nous avons affaire à un client qui ne veut pas respecter le processus, si le projet est déjà en cours de réalisation, nous nous évertuons à le finaliser de la plus belle des manières et ensuite nous arrêterons toute autre collaboration avec le concerné.
Il est vrai que certains types de comportement peu commodes peuvent arriver, même avec des clients qui ne trouvent pas de problème avec le processus établi. Sachant que nous sommes là pour assister nos clients, nous avons toujours une marge de manœuvre pour essayer de gérer la situation. Mais si c’est tout le processus qui est remis en cause, nous serons obligés d’interrompre la collaboration.
5. Si le client n’a pas assez de moyens pour le projet
Si un client se présente à vous avec un projet alors qu’il n’a pas les moyens de le réaliser, ne le prenez pas surtout par sympathie, si vous ne voulez pas de problèmes. À moins que vous souhaitiez le réaliser de votre poche. Ne perdez pas de vue que la plupart de projets notamment de conception de site web rencontrent toujours des bugs ou des imprévus nécessitant un travail supplémentaire.
À cet effet, pour un projet accepté par exemple à 10 000 CAD avec une estimation du coût de réalisation à 8000 CAD et une plus-value de 2000 CAD, vous pouvez finalement vous retrouver en train de dépenser 13000 CAD de coût de réalisation alors que le client est seulement prêt à payer les 10 000 CAD promis. Tout ceci peut créer une grosse angoisse. Vous allez perdre près de 3000 CAD, sans oublier que les clients qui ne paient généralement pas bien sont souvent les plus exigeants.
Ainsi, se tenant sur les termes que vous aurez acceptés au départ, il pourra ne pas comprendre que le projet peut accuser un retard parce que le budget est fini et qu’il vous faut travailler sur d’autres projets pour essayer de vous rattraper et bonjour à la frustration.
Nous vous recommandons donc de faire attention, car si le client n’a pas les moyens, mieux vaut lui proposer autre chose qui correspond à son budget. S’il accepte, allez-y et s’il n’accepte pas, n’essayez pas de forcer les choses.
6. Si vous n’avez pas des ressources nécessaires pour son projet, ne prenez pas le client
Si vous réalisez que vous n’avez pas les compétences ou du personnel qualifié pour réaliser le projet d’un client, ne le prenez pas. Il est inutile de se dire : “Je vais demander à tel ami de m’aider avec le design”, “Je vais prendre et me débrouiller” ou encore “Tel cousin va m’assister dans la gestion de ce projet”.
Si vous n’avez pas un gestionnaire de projet, un chargé de compte, bref une équipe capable de mener à bien un projet, ne le prenez pas.
Ne prenez donc pas un projet dont vous ne serez pas capable de gérer, cela vous évitera de ternir votre image de marque et de multiples autres problèmes.
Si vous avez des questions, des commentaires, ou d’autres raisons que vous connaissez et que nous n’avons pas citées, vous pouvez les laisser en commentaire, nous serons heureux de vous lire.
Si vous voulez en savoir plus sur la conception d’un site internet, n’hésitez pas à planifier un appel avec un de nos conseillers web en cédulant un appel de stratégie gratuit.
Si par ailleurs, vous souhaitez en savoir plus sur la façon de mener à bout un projet sans frustration, notamment la conception d’un site web, consultez notre article : 7 astuces pour éviter la frustration lors de la conception de site web.
Aujourd’hui nous allons vous présenter 6 raisons pour lesquelles nous n’acceptons plus certains projets. Très souvent, tous les clients ou tous les projets ne sont pas bons à prendre. C’est une chose que nous avons apprise tout au long de notre parcours, à travers la collaboration avec de nombreux clients. Nous vous dirons pourquoi nous l’affirmons dans la suite de cet article. Voici donc 6 raisons pour lesquelles il est préférable de ne pas accepter un projet.
1. Eviter des projets en marque blanche
C’est un type de projet dans lequel le fournisseur n’est pas en relation directe avec le client. Il y a donc un intermédiaire entre le client final et le fournisseur de service. Le client a donc vendu le projet à son contact mais ce n’est pas ce dernier qui l’exécute.
Nous avons travaillé sur ces types de projets en début de carrière étant donné que nous n’avions pas encore de relation client, cumulé au fait que nous avions un peu peur des ventes. Ainsi, nous avons voulu passer par des partenaires pour obtenir quelques contrats.
Nous ne pouvons pas dire de manière absolue que nous ne prenons jamais ce type de projet, mais nous n’en prenons quasiment plus ou très peu. Il est généralement très difficile pour que les conditions soient réunies pour une entente entre le client, l’intermédiaire et le fournisseur de service, à cause de plusieurs raisons :
- L’intermédiaire qui vous délègue le projet n’a souvent aucune compréhension à ce propos (Techniquement, il n’a quasiment aucune compréhension de ce qu’il vend. Un peu comme si je m’amusais à vendre des voitures Ferrari alors que je ne connais aucune information sur le produit.) Tout ceci pouvant engendrer une multitude de stress et de frustration
- La marge bénéficiaire est très réduite : Ceci est assez clair d’autant plus que, plus le nombre d’intervenants dans le projet augmente, plus le nombre de prestations à payer augmente aussi. Cela est évident étant donné que l’intermédiaire à son niveau entend gagner également. De plus, les imprévus surviennent presque toujours. Dans ce type de projet, à moins que le client final ne débourse assez d’argent pour payer suffisamment les différents intervenants, la marge bénéficiaire peut être très réduite.
2. Eviter de prendre des projets venant des compagnies plus grosses que vous
Nous avons plusieurs raisons qui nous poussent à ne pas prendre des projets venant de ce type d’entreprise. Ainsi, nous voulons être sûrs d’avoir la capacité de les servir. Pour cela, il n’est pas convenable d’accepter des projets dont vous n’aurez pas la compétence ou la technologie pour les réaliser.
De plus, traiter avec les grosses compagnies, c’est entrer dans une relation déséquilibrée. Le client pourra vous demander par exemple d’aller lui apporter la lune alors que vous ne savez pas comment décoller du sol. Par conséquent, par peur de le perdre, vous pouvez être entraîné dans un domaine dont vous ne maîtrisez rien.
En essayant de faire quelque chose qui n’entre pas dans votre domaine de compétence, vous allez certainement livrer un travail de mauvaise qualité. Tout ceci pouvant engendrer de grosses frustrations, raison pour laquelle nous recommandons de prendre des clients de votre niveau ou encore ceux ayant un niveau pas trop supérieur au vôtre (ainsi, vous apprendrez un peu plus en collaborant avec eux). Quant à nous, c’est comme cela que nous travaillons de nos jours.
3. Eviter de prendre le projet d’une entreprise qui se place sur un rapport de force plutôt que sur un rapport de collaboration
Nous avons rencontré ce type de cas, cela dépend du chef ou du CEO. Lorsqu’il s’agit de quelqu’un utilisant un rapport de collaboration (Ex : que puis-je faire pour aider cette compagnie afin de recevoir en retour son assistance ?), nous pouvons tout donner pour satisfaire ce modèle de compagnie, à la limite de devenir son esclave.
Cependant, lorsque nous avons affaire à un client ou une entreprise qui est plutôt dans un rapport de force (c’est moi qui paye, c’est moi le boss, etc.) ou qui cherche à s’accaparer de toutes nos ressources, nous commençons à prendre nos distances. Dans ce cas, nous pouvons finir le projet en cours, mais nous ne serons pas prêts à en prendre d’autres dans les mêmes conditions.
Ainsi, après plusieurs cas de figure, nous avons conclu qu’un rapport de collaboration est préférable à un rapport de force.
4. Si le client décide de ne pas respecter votre processus
Plus nous gagnons en expérience, plus nous avons la facilité de percevoir ce genre de cas et travaillons à nous adapter. Toutefois, certains clients trouveront des objections à la presque à totalité de votre stratégie de travail (Non, je ne veux pas payer en 4 tranches mais plutôt en 6, Non, je ne préfère pas collaborer avec votre chargé de projet mais plutôt avec vous, Non je préfère vous appeler tous les jours même si le processus prévoit plutôt un appel par semaine, etc.).
Tout ceci rend les choses très compliquées et crée un gros désordre, étant donné que vous ne pouvez pas entrer dans un restaurant, ouvrir le frigo vous-même et demander que l’on vous laisse préparer votre plat à votre manière. Mais vous passez votre commande et vous laissez que l’on vous serve selon les règles de la maison étant donné que si tout le monde se comportait de la sorte, on assisterait à une anarchie totale.
Les processus sont donc faits pour être respectés et maintenir l’ordre. Quand nous avons affaire à un client qui ne veut pas respecter le processus, si le projet est déjà en cours de réalisation, nous nous évertuons à le finaliser de la plus belle des manières et ensuite nous arrêterons toute autre collaboration avec le concerné.
Il est vrai que certains types de comportement peu commodes peuvent arriver, même avec des clients qui ne trouvent pas de problème avec le processus établi. Sachant que nous sommes là pour assister nos clients, nous avons toujours une marge de manœuvre pour essayer de gérer la situation. Mais si c’est tout le processus qui est remis en cause, nous serons obligés d’interrompre la collaboration.
5. Si le client n’a pas assez de moyens pour le projet
Si un client se présente à vous avec un projet alors qu’il n’a pas les moyens de le réaliser, ne le prenez pas surtout par sympathie, si vous ne voulez pas de problèmes. À moins que vous souhaitiez le réaliser de votre poche. Ne perdez pas de vue que la plupart de projets notamment de conception de site web rencontrent toujours des bugs ou des imprévus nécessitant un travail supplémentaire.
À cet effet, pour un projet accepté par exemple à 10 000 CAD avec une estimation du coût de réalisation à 8000 CAD et une plus-value de 2000 CAD, vous pouvez finalement vous retrouver en train de dépenser 13000 CAD de coût de réalisation alors que le client est seulement prêt à payer les 10 000 CAD promis. Tout ceci peut créer une grosse angoisse. Vous allez perdre près de 3000 CAD, sans oublier que les clients qui ne paient généralement pas bien sont souvent les plus exigeants.
Ainsi, se tenant sur les termes que vous aurez acceptés au départ, il pourra ne pas comprendre que le projet peut accuser un retard parce que le budget est fini et qu’il vous faut travailler sur d’autres projets pour essayer de vous rattraper et bonjour à la frustration.
Nous vous recommandons donc de faire attention, car si le client n’a pas les moyens, mieux vaut lui proposer autre chose qui correspond à son budget. S’il accepte, allez-y et s’il n’accepte pas, n’essayez pas de forcer les choses.
6. Si vous n’avez pas des ressources nécessaires pour son projet, ne prenez pas le client
Si vous réalisez que vous n’avez pas les compétences ou du personnel qualifié pour réaliser le projet d’un client, ne le prenez pas. Il est inutile de se dire : “Je vais demander à tel ami de m’aider avec le design”, “Je vais prendre et me débrouiller” ou encore “Tel cousin va m’assister dans la gestion de ce projet”.
Si vous n’avez pas un gestionnaire de projet, un chargé de compte, bref une équipe capable de mener à bien un projet, ne le prenez pas.
Ne prenez donc pas un projet dont vous ne serez pas capable de gérer, cela vous évitera de ternir votre image de marque et de multiples autres problèmes.
Si vous avez des questions, des commentaires, ou d’autres raisons que vous connaissez et que nous n’avons pas citées, vous pouvez les laisser en commentaire, nous serons heureux de vous lire.
Si vous voulez en savoir plus sur la conception d’un site internet, n’hésitez pas à planifier un appel avec un de nos conseillers web en cédulant un appel de stratégie gratuit.
Si par ailleurs, vous souhaitez en savoir plus sur la façon de mener à bout un projet sans frustration, notamment la conception d’un site web, consultez notre article : 7 astuces pour éviter la frustration lors de la conception de site web.