Vous avez demandé à Google : « Combien coûte un site web ? » La vraie réponse : entre 0$ et 10,000$. C’est aussi précis que de demander le prix d’un véhicule.
Dans cet article, nous allons démystifier la question pour les dirigeants comme vous qui excellent dans leur métier, mais pas encore dans le « système » :
- Pourquoi l’option « gratuite » est le piège le plus coûteux en temps.
- Comment un « microsite » peut transformer votre prospection dès le départ.
- Quand et pourquoi un site à 5 000 $ vous fera gagner 10 heures par semaine.
La carte d’affaires (0$– 500$)
L’approche 0 $ (avec un template ou un outil IA) est séduisante, mais c’est l’équivalent de construire votre propre maison sans plan ni marteau.
Vous gagnerez peut-être quelques centaines de dollars, mais prévoyez 5 à 30 heures de votre temps précieux pour un résultat qui est soit générique, soit, soyons honnêtes, franchement nul.
Ça peut être un bon début si vous avez juste besoin d’une seule page.
Par exemple, nous avons créé le site de Kemidis avec cette approche juste pour tester le concept.
Le site est générique et n’offre aucune fonctionnalité – c’est une carte d’affaires (par contre, nous prévoyons améliorer ce site dans le futur).
Le microsite vitrine (1,000$ – 3,000$) : la carte de visite qui transforme les visiteurs en clients potentiels
Pour une entreprise qui démarre ou qui veut un premier actif numérique solide, le microsite (3 pages maximum) est une excellente option.
L’objectif n’est pas d’avoir toutes les réponses, mais d’être irréprochable sur deux points : bien positionner la marque (crédibilité, expérience, confiance) et avoir un « aimant à client potentiels » qui persuade les visiteurs d’entrer en contact avec vous.
C’est la base pour avoir l’air professionnel et commencer à obtenir des clients potentiels sans y laisser un rein.
Le site web « actif » (3 000 $– 6 000$) : le représentant des ventes virtuel 24/7
Ici, on ne parle plus de carte de visite, mais d’un système.
Ce site de 5 à 10 pages intègre des fonctionnalités qui font des tâches pour vous : un blog pour répondre aux questions, des formulaires diversifiés, peut-être une section réalisations pour vendre sans que vous ayez à lever le petit doigt.
Le système peut préqualifier les clients potentiels, booker des rendez-vous…
Il va même plus loin : il peut envoyer les prospects directement dans votre CRM (ou votre système de gestion), effectuer des suivis et répondre aux questions de base via un chatbot ou une FAQ intelligente.
Votre site est devenu un actif opérationnel qui génère de la crédibilité et des gains de temps.
Exemples:
- Clinique GynOvie | 3h économisés par jour avec le système de prise de rdv
- La Cité Médicale Montréal | Agent conversationnel + prise de rdv
- Mastra Construction | Acquisition de clients potientiels
Le site web plateforme (6 000 $ et plus) : la machine à sous sophistiquée
Dès que vous ajoutez de la complexité — vente en ligne (e-commerce), systèmes de connexion clients, intégrations ERP/CRM poussées, fonctionnalités d’Intranet, ou automatisations complexes (comme des calculateurs de prix avancés) — le prix grimpe.
Ces sites (qui peuvent facilement aller jusqu’à 10 000 $ pour une PME) ne sont plus seulement là pour « faire joli ». Ils sont une extension critique de vos opérations, une vraie machine à sous qui travaille pour vous, gère les transactions et libère votre équipe des tâches répétitives. C’est le prix de la liberté opérationnelle.
Exemples
Eralux | Boutique en ligne avancée + gestion d’inventaire
Un site web, c’est comme un outil : un marteau peut coûter 5 $ou 500$. L’important est de choisir l’outil qui vous permet de cesser de faire du marteau-piqueur avec une petite cuillère.
Vous avez demandé à Google : « Combien coûte un site web ? » La vraie réponse : entre 0$ et 10,000$. C’est aussi précis que de demander le prix d’un véhicule.
Dans cet article, nous allons démystifier la question pour les dirigeants comme vous qui excellent dans leur métier, mais pas encore dans le « système » :
- Pourquoi l’option « gratuite » est le piège le plus coûteux en temps.
- Comment un « microsite » peut transformer votre prospection dès le départ.
- Quand et pourquoi un site à 5 000 $ vous fera gagner 10 heures par semaine.
La carte d’affaires (0$– 500$)
L’approche 0 $ (avec un template ou un outil IA) est séduisante, mais c’est l’équivalent de construire votre propre maison sans plan ni marteau.
Vous gagnerez peut-être quelques centaines de dollars, mais prévoyez 5 à 30 heures de votre temps précieux pour un résultat qui est soit générique, soit, soyons honnêtes, franchement nul.
Ça peut être un bon début si vous avez juste besoin d’une seule page.
Par exemple, nous avons créé le site de Kemidis avec cette approche juste pour tester le concept.
Le site est générique et n’offre aucune fonctionnalité – c’est une carte d’affaires (par contre, nous prévoyons améliorer ce site dans le futur).
Le microsite vitrine (1,000$ – 3,000$) : la carte de visite qui transforme les visiteurs en clients potentiels
Pour une entreprise qui démarre ou qui veut un premier actif numérique solide, le microsite (3 pages maximum) est une excellente option.
L’objectif n’est pas d’avoir toutes les réponses, mais d’être irréprochable sur deux points : bien positionner la marque (crédibilité, expérience, confiance) et avoir un « aimant à client potentiels » qui persuade les visiteurs d’entrer en contact avec vous.
C’est la base pour avoir l’air professionnel et commencer à obtenir des clients potentiels sans y laisser un rein.
Le site web « actif » (3 000 $– 6 000$) : le représentant des ventes virtuel 24/7
Ici, on ne parle plus de carte de visite, mais d’un système.
Ce site de 5 à 10 pages intègre des fonctionnalités qui font des tâches pour vous : un blog pour répondre aux questions, des formulaires diversifiés, peut-être une section réalisations pour vendre sans que vous ayez à lever le petit doigt.
Le système peut préqualifier les clients potentiels, booker des rendez-vous…
Il va même plus loin : il peut envoyer les prospects directement dans votre CRM (ou votre système de gestion), effectuer des suivis et répondre aux questions de base via un chatbot ou une FAQ intelligente.
Votre site est devenu un actif opérationnel qui génère de la crédibilité et des gains de temps.
Exemples:
- Clinique GynOvie | 3h économisés par jour avec le système de prise de rdv
- La Cité Médicale Montréal | Agent conversationnel + prise de rdv
- Mastra Construction | Acquisition de clients potientiels
Le site web plateforme (6 000 $ et plus) : la machine à sous sophistiquée
Dès que vous ajoutez de la complexité — vente en ligne (e-commerce), systèmes de connexion clients, intégrations ERP/CRM poussées, fonctionnalités d’Intranet, ou automatisations complexes (comme des calculateurs de prix avancés) — le prix grimpe.
Ces sites (qui peuvent facilement aller jusqu’à 10 000 $ pour une PME) ne sont plus seulement là pour « faire joli ». Ils sont une extension critique de vos opérations, une vraie machine à sous qui travaille pour vous, gère les transactions et libère votre équipe des tâches répétitives. C’est le prix de la liberté opérationnelle.
Exemples
Eralux | Boutique en ligne avancée + gestion d’inventaire
Un site web, c’est comme un outil : un marteau peut coûter 5 $ou 500$. L’important est de choisir l’outil qui vous permet de cesser de faire du marteau-piqueur avec une petite cuillère.